lundi 9 avril 2012

Participation au Impromptus Littéraires sur le thème des planètes


Je dois avouer que je ne savais pas grand chose sur le système solaire avant que le thème de la semaine des Impromptus Littéraires ne m’impose l’obligation d’effectuer une recherche si je voulais être capable d’écrire quelque chose sur les 8 planètes qui le composent.
Avant cette recherche, je crois que j’aurais eu de la difficulté à spontanément en nommer plus que trois. La première à me venir à l’esprit aurait été Mars (à cause des martiens bien sûr). Ensuite, peut-être Vénus (l’étoile du berger) et sans doute aussi Saturne (à cause de son anneau que j’ai vue une fois dans le télescope d’un astronome amateur : impressionnant !). Par contre, les noms de Mercure, Neptune, Uranus et Jupiter, même s’ils ne me sont pas inconnus, n’auraient certainement pas surgi facilement dans mon esprit.
Quelques informations me reviennent encore à l’esprit 24 heures après les avoir lues, mais je ne sais pas combien de temps je vais m’en souvenir. Ainsi, dans l’ordre de leur distance avec le soleil : Mercure, Vénus, Terre et Mars sont des planètes rocheuses alors que Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune sont des planètes gazeuses. Pluton fut découverte en 1930 et classée comme étant la neuvième planète, mais, malheureusement pour elle, elle fut déclassée en 2006 parce que la découverte de plusieurs autres objets planétaires de grandeur similaire a obligé les scientifiques à inventer une nouvelle catégorie : les planètes naines.   
Je me risque à considérer ce qui précède comme étant un texte en prose parlant de planètes. J’admets toutefois qu’il ne brille pas beaucoup littérairement parlant. J’aurais pu faire preuve de plus d’imagination en faisant appel à une mise en scène plus élaborée. Exemple : Par une belle nuit d’été, un homme et une femme étaient étendus au fond d’une chaloupe qui dérivait au milieu d’un lac isolé des Laurentides au nord de Montréal. Ils s’émerveillaient de la profusion d’étoiles qui les surplombaient se demandant combien de planètes pouvaient se cacher parmi tous ces points lumineux et combien d’entres elles pouvaient abriter des formes de vie. La conversation dériva vers notre système solaire et l’un des deux, peu importe lequel, fit une magistrale démonstration de ses connaissances en astronomie en déclinant les noms de chacune des planètes qui le composent. Soudain, la chaloupe heurta quelque chose, quelque chose de très dur, de métallique. Ils se précipitèrent pour aller voir ce qu’ils avaient heurté et au moment où ils se retrouvèrent tous les deux penchés par dessus le même côté de la chaloupe, celle-ci chavira, non pas parce qu’ils l’avaient déséquilibrée, mais parce qu’une trappe venait de s’ouvrirent sous eux, les engouffrant dans le ventre d’un vaisseau spatial. La trappe se referma presque immédiatement et le navire émergea du lac pour s’élancer dans le ciel à une vitesse fulgurante emportant avec lui les deux spécimens. À peine était-il sorti de l’atmosphère terrestre qu’un énorme aspirateur de planètes vint s’emparer de la Terre pour n’en faire qu’une bouchée de poussière pulvérisée qui allait rejoindre celles qui avaient été engendrées par la capture de Mercure et de Vénus. Il ne lui restait plus qu’à faire un petit arrêt à proximité de Mars et le tour était joué. 

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